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Pourquoi je ne vends pas en ligne (et pourquoi c’est tant mieux)

C’est une question qu’on me pose souvent : « Mais pourquoi tu ne fais pas de vente en ligne ? »
Eh bien… asseyez-vous, respirez un bon coup, je vais vous dire pourquoi, tout simplement, je dis non à la lingerie par clics interposés.

La lingerie, ça s’essaye. Ça se vit.

Un soutien-gorge, ce n’est pas un grille-pain. Ça ne se choisit pas avec un tableau de tailles et une photo sur fond blanc. La lingerie, ça se vit, ça s’éprouve, ça se ressent. C’est du tissu contre votre peau, votre vraie peau, celle qui a ses caprices, ses histoires, ses cicatrices parfois.
Moi, je suis là pour ça. Pas pour cliquer, pas pour « ajouter au panier », mais pour vous accompagner en cabine, en vrai. Ma différence, c’est mon conseil en chair, en os et en dentelle.

Vous ne trouverez jamais votre taille dans un calculateur !

Et vous savez pourquoi ? Parce que vous êtes unique, et ça, nous, on le sait !
Un calculateur, c’est très mignon, mais ça ne vous demande pas si vous avez eu un cancer du sein, si vous ne supportez pas les armatures trop rigides, ou si votre peau est aussi sensible qu’une chanson d’Adèle.
Ça ne sait pas non plus que chez PrimaDonna, un bonnet F peut être un rêve, alors que dans une autre marque, c’est le début du cauchemar. Un 70 EU ? C’est un 85 FR. Oui, vous avez bien lu.
Et si vous êtes une habituée de la maison, moi, je sais que vous aimez les teintes bordeaux, que vous avez un faible pour la broderie suisse, et qu’il vous faut un petit quelque chose pour ce fameux rencart vendredi soir… Mais chut. Ça reste entre nous.

Le e-commerce ? Je l’ai testé. Et j’ai détesté.

Sur mon ancien site, j’ai mis quelques articles en ligne. Résultat : des colis renvoyés car « la couleur rendait différemment », ou parce que « finalement la taille ne va pas », ou pire : « je sais pas trop, j’ai changé d’avis ».
Et pendant ce temps-là, moi je courais à La Poste, j’imprimais, j’emballais, je calculais. Bref, je perdais mon temps, mon argent… et mon mojo. Sans parler de l’impact écologique de tous ces allers-retours en camionnette.
Soyons honnêtes : tout le monde n’a pas la puissance d’Amazon.
Moi, ma puissance, c’est le contact. Le vrai.

 

 

Une boutique physique, c’est un petit miracle

Chez Pomponette, on ne fait pas juste « de la vente ».
On accueille, on écoute, on rigole, on essaie, on ajuste, on trouve le modèle qui vous sublime. Et parfois, on écoute DJ Snake en installant les nouveautés, entre deux essayages de soutien-gorge orange fluo (véridique).

Beaucoup de femmes me disent : « il n’y a plus de boutiques comme la vôtre près de chez moi ».
Eh oui, les chaînes impersonnelles, la vente sur internet et les supermarchés ont grignoté l’espace. Les vraies boutiques indépendantes, expertes, conviviales, ont du mal à survivre.
Et pourtant, c’est là que la magie opère.

Je n’ai pas choisi ce métier pour empiler des colis derrière un écran.
J’ai choisi d’ouvrir une boutique pour accueillir, conseiller, chouchouter.
Alors non, vous ne trouverez pas de panier sur mon site.
Mais en poussant la porte de Pomponette, vous trouverez bien mieux : une expérience, un regard bienveillant, un moment pour vous.

Et promis, je ne vous jugerai pas si vous craquez pour un string léopard.